le'arberes fruitiers dans la région d’EL_OUED situation et prerspective de développement
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جامعة الوادي university of eloued
Abstract
Vis-à-vis du coté quantiatif (superficie, production et rendement), le travail efectué durant
toutes les campagnes, s’étendant de 205 à 2013, a révélé plusieurs diférences significatives entre
les diférentes espèces fruitères et dans une même espèce d’une saison à l’autre, alors qu’en
examinant les statistiques isues de la D.S.A, on peut les conclure comme suit :
Les superficies exploitées totales et productives sont toujours progresives et rarement
constantes ou régresives dont les oliviers ocupent la première place à 6400 arbres en 2012.
En revanche, la production parait plus ou moins proportionele à la surface exploitée dont
les oliviers, orangers, pommiers, poiriers, abricotiers, grenadiers, pechers et pruniers. Certains
autres ont une production à échele variable ou constante (vigne, néflier et citronier).alors que les
agrumes sont généralement en diminution continue.
Dans ce contexte, de la part de leur rendement, la majorité dominante des espèces fruitères
ne donent pas des rendements stables parmi eles, on cite : vignes, pommiers, poiriers, abricotiers,
pechers, pruniers et agrumes.
La stabilté de rendement se limite dans 02 espèces (citroniers et grenadiers)
Par contre, il y a un abaisement redoutable quant au rendement des oliviers qui est, selon
les profesionels, du à la défailance de production au niveau de l’exploitation de Dhaouia.
L’instabilté des actions de dévelopement arboricole s’explique par la mauvaise conception
des programmes de dévelopement agricole, puisque la politque de dévelopement dans les
régions saharienes est caractérisée par un manque de cohérence et les objectifs qui lui sont
asignées ne sont que partielement ateints.
En clair, et comme nous l’avons afirmé, il n’existe pas encore de stratégie agricole qui
impose des objectifs à court, moyen et long terme. Avant d’achever les programmes en cours, et de
dreser des bilans sérieux pour aporter les corectifs qui s’imposent, on se lance déjà dans de
nouveaux programmes. La rationalité recommande de capitaliser ce qui est réalisé, comme par
exemple de reprendre les exploitations qui ont été atribuées et qui ont été abandonées et pour
lesqueles des investisements ont été déjà faits. Le bon sens recommande de mieux aseoir dans ses
missions un Commisariat de dévelopement agricole des régions saharienes qui dispose d’une
expérience apréciable au lieu de metre en place une nouvele structure dont le rôle parait limité à
un simple intermédiaire pour la réalisation d’aménagement hydro-agricoles (CGA).
Un autre élément d’incohérence relève des changements de caps ou d’objectifs selon la
disponibilté des resources du budget de l’état ce qui rend ininteligible la vision du dévelopement
agricole qui s’exprime beaucoup plus par un partage de la rente des hydrocarbures que par la
valorisation de resources économiques dont disposent les régions saharienes en matière
d’agriculture.
La réusite des programmes de dévelopement ou des actions d’intervention doit
s’acompagner de la propre dynamique des agriculteurs en fonction de leurs objectifs. Ele
pase ausi par sa participation à la conception, la réalisation et l’évaluation de ces actions.
C’est là un gage important de réusite. il ne sert à rien de proposer une plantation gratuite de
plants d’oliviers si l’agriculteur ne resent pas cete utilté ou ce besoin. Nous resterons
persuadés pour notre part que sans l’existence d’agriculteurs leaders ou modèles, qui seront la
Description
végétale
Keywords
Citation
licence, 2014. DEPARTEMENT DE agriculture. Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie. Université d'El-Oued.